Bonjour!

Difficile de dire si le printemps est vraiment là lorsque les gens sont en pantalon court au centre-ville d’Ottawa à la fin de février et que les centres de ski de l’Estrie reçoivent 45 cm de neige en avril… Heureusement qu’on peut toujours vérifier LE signe incontestable de son arrivée, soit la fonte complète de la glace sur le lac, sur la page Facebook des Amis du lac Pemichangan (l’ALP)!

Il y a eu du changement au conseil de l’ALP cet hiver. Rick Roberston (président sortant) et Pat Zakaib (adhésions) ont tous deux tiré leur révérence. L’ALP et la grande communauté du Pemichangan remercient Rick et Pat et leur souhaitent le meilleur pour la suite. Le reste du conseil continue à se réunir tous les mois. Dans ce numéro, nous avons pensé vous présenter certains des membres de l’équipe qui se consacre à la poursuite de la mission de l’ALP. Vous verrez qu’ils regroupent une panoplie d’expériences et de compétences et qu’ils se sont joints au conseil pour toutes sortes de raisons. Le conseil est toujours à la recherche de nouvelles recrues. N’hésitez pas à communiquer avec Jeff Stanier si vous voulez faire partie de ce groupe de bénévoles dynamiques et TRÈS sympathiques.

VOTRE CONSEIL SE PRÉSENTE.

Jeff Stanier – Président
Nous avons un chalet sur le côté ouest de l’île Chantigny depuis 2001. Originaires du Manitoba, ma conjointe et moi avons passé beaucoup de temps dans les forêts du nord-ouest de l’Ontario. Lorsque nous avons vu le lac pour la première fois, nous nous sommes tout de suite sentis chez nous grâce à ses eaux claires, ses rives rocheuses et ses belles forêts. Depuis, nous avons fait plein de connaissances et d’amis au lac et dans la région. J’ai une formation d’ingénieur et je travaille au développement de produits de réseaux de communication sans fil pour Ericsson. Je participe à l’ALP depuis 2003. Je me suis joint au conseil pour connaître le lac et l’histoire de la région.

Michèle Patry – Secrétaire et communications
Ma famille a un chalet dans la baie de Knight (secteur sud) depuis 1933. Mes petits-enfants sont donc la sixième génération de notre famille au lac! Je suis originaire du sud de l’Ontario, mais j’ai passé ma vie adulte à Montréal. Avant de prendre ma retraite, j’ai travaillé en droit et en traduction. Je me suis jointe au conseil pour veiller à ce que les communications de l’ALP soient bilingues et pour rencontrer des gens de partout au lac.

Karen Butterfield – Camping, bassin versant et santé du lac
J’ai trouvé notre chalet au lac (secteur sud) en 2006 lorsque je ramenais ma jeune famille de Londres. J’ai grandi à Montréal, mais j’ai vécu un peu partout au Canada, puis en France et en Angleterre. Nous sommes maintenant installés à Ottawa, ce qui nous rapproche du chalet. J’ai une formation d’ingénieur et de conseiller en gestion, mais depuis ma retraite j’enseigne le kayak. Je me suis jointe au conseil pour veiller à la santé du lac.

Tracey Henderson – Camping, bassin versant et santé du lac
Nous avons notre chalet familial au lac (secteur sud) depuis 1972 et je n’y ai jamais manqué un été! J’ai grandi à Ottawa, mais je vis maintenant à Canmore, en Alberta, où je travaille comme vétérinaire à temps très partiel, ce qui me permet de passer presque tout l’été et une partie de l’automne au lac. Je me suis jointe au conseil parce que je me soucie profondément du lac – de sa beauté, de sa santé et de tout ce qu’il peut offrir à ceux d’entre nous qui ont la chance d’y séjourner.

Marianne Kennedy-Beaulne – Relations externes et secteur nord
Je suis relativement nouvelle au lac, ayant acquis notre chalet (secteur nord) en 2019. J’ai grandi à Montréal (quelques années) et dans le Grand Toronto (surtout), et j’ai fini par m’installer à Ottawa avec mon mari, ancien nomade pour qui l’Outaouais a toujours été une sorte de port d’attache. Avant de prendre ma retraite, j’ai travaillé en droit et en gestion des connaissances. Je me suis jointe au conseil pour l’aider à poursuivre ses efforts de protection du lac et de veiller à la santé du lac aujourd’hui et pour les générations futures.

Nicole Laframboise – Liaison avec le GFGC
Ma famille immédiate a un chalet près des petites îles jumelles (secteur nord) depuis 17 ans. Pendant ma jeunesse, je passais mes étés au chalet de mes grands-parents, au lac Oxbow, l’un des lacs menant au lac Vert. Je suis originaire de l’Outaouais, mais j’ai passé la majeure partie de ma vie adulte à Londres, à Toronto et surtout dans la région de Washington, DC, où j’ai travaillé pour une institution financière internationale. Avant de prendre ma retraite l’an dernier, j’ai travaillé dans le domaine de la recherche économique et des politiques publiques. Je me suis jointe au conseil pour veiller au soin, à la gestion et la pérennité du lac.

Todd Norton – Culture du camping
Mes parents ont acheté un chalet (secteur sud) à l’été 1965, quand j’avais un an et demi. Je suis né et j’ai grandi à Ottawa. J’ai eu la chance de grandir et de passer mes étés au lac avec un groupe d’amis avec qui j’ai encore le bonheur d’y vivre des moments privilégiés l’été. Je suis chiropracticien à Ottawa. Dans ma jeunesse, l’état des terrains de camping au lac me préoccupait particulièrement. Je me suis joint au conseil pour veiller à la santé du lac et de son bassin versant.

Claire Poitras – Relation externes et secteur sud
Ma famille est dans la baie de Knight (secteur sud) depuis 1933 suite au passage de mon grand-père en canot-camping en 1927. Mes deux garçons sont donc la cinquième génération à séjourner au lac. J’habite à Chambly, sur la Rive-Sud de Montréal. J’enseigne la gestion des opérations et la logistique à HEC Montréal. Fière Québécoise francophone, je me suis jointe au conseil afin de faciliter les communications et interactions avec les autres associations et le gouvernement du Québec en ce qui a trait à la protection du lac et de ses rives.

Wanda Taylor – Liaison avec les États-Unis et adhésions
J’ai séjourné au lac toute ma vie – mon oncle et ma tante ont acheté un terrain dans la baie de Knight (secteur sud) en 1936. J’ai acheté mon propre chalet, cinq portes plus loin, en 1993. Mon mari et moi vivons près de Hershey, en Pennsylvanie, et nous nous rendons au chalet aussi souvent que possible. J’ai travaillé en recherche médicale, en administration industrielle et en technologies de l’information. Je me suis jointe au conseil parce que le lac est mon endroit préféré du monde!

OUVERTURE DE LA PÊCHE. Comme les adeptes de la pêche le savent sans doute, la saison de la pêche commence au Pemichangan (zone 10) le 26 avril. On peut se procurer ou renouveler un permis de pêche en ligne ou encore à des points de vente au détail comme le dépanneur de Point-Comfort ou le Marché Bon Ami de Lac-Sainte-Marie. N’oubliez pas de nous montrer vos prises sur la page Facebook!

C’EST LE PRINTEMPS AU CHALET. La glace fond et le thermomètre grimpe enfin, deux signes qui amènent bon nombre d’entre nous à songer aux préparatifs du printemps et de l’été au lac. Voici un bref rappel de quelques moyens simples mais importants de veiller à la santé du lac :

Ménage du printemps. Le nettoyage des rives permet de protéger la faune des déchets potentiellement dangereux, mais il faut laisser les arbres, les troncs et les branches. Les débris ligneux aident à contrôler l’érosion du sol et fournissent un habitat propice à l’alimentation, la nidification et le repos des oiseaux, des tortues et des poissons. Optez pour des produits sans phosphate, biodégradables et sans danger pour les fosses septiques, et n’utilisez que le minimum nécessaire. Évitez les produits antibactériens et l’eau de Javel (même à l’intérieur) – essayez le vinaigre et l’eau, solutions bon marché, efficaces et rétro!

Fosses septiques. Le printemps est le moment idéal de vérifier si votre installation septique est conforme aux exigences actuelles et qu’elle est bien entretenue. C’est aussi un temps où on surveille son utilisation d’eau car les nappes phréatiques élevées et les sols saturés peuvent réduire l’efficacité de l’installation septique.

Quais. Si vous devez réparer ou remplacer un quai, optez pour des matériaux non polluants comme le bois naturel non traité. Placez le quai là où il aura le moins d’impact sur l’habitat aquatique.

Bateaux. Choisissez des nettoyants écologiques pour laver votre bateau et votre remorque, et éloignez-vous du lac pour le nettoyage. Une bonne inspection permettra de détecter les problèmes de sécurité et les fissures et les fuites qui pourraient contaminer le lac. Une fois votre bateau à l’eau, utilisez plutôt l’eau et un peu d’huile de coude (bon pour le lac et pour brûler quelques calories supplémentaires!) pour nettoyer. Vous cherchez d’autres façons de prendre soin du lac? Consultez le Code de conduite du bon villégiateur de l’ALP et la page Facebook.

COIN PIQUE-NIQUE ET CAMPING. J’adopte un site. Connaissez-vous le programme « J’adopte un site » de l’ALP? Saviez-vous que ni la province ni la municipalité ne s’occupe de nos sites de pique-nique et de camping? Adopter un site de pique-nique ou de camping est une excellente façon d’aider à préserver l’écologie du lac. Si vous avez des enfants, c’est aussi une excellente façon pour eux de faire du bénévolat au lac. L’ALP encourage ceux et celles qui adoptent un site à le visiter trois ou quatre fois au cours de l’été pour en vérifier l’état (pas de dommages aux arbres, de déchets abandonnés, de feux mal éteints ou d’autres éléments nécessitant une attention particulière). Munissez-vous de gants et d’un sac à ordures pour ramasser les ordures que vous pourriez y trouver. Si des visiteurs s’y trouvent, vous pouvez discuter avec eux pour savoir comment se déroule leur visite et si le site était propre à leur arrivée. C’est un bon moyen d’informer les gens que l’entretien est fait surtout par des bénévoles. Si vous êtes intéressés, veuillez communiquer avec Todd Norton.

Vous partez bientôt en camping. Pensez à vous procurer du bois d’allumage et de chauffage aux dépanneurs de Point-Comfort ou de Lac-Sainte-Marie. Ce bois aura probablement été coupé à partir de sources indigènes locales. Évitez de couper les arbres et les arbustes ou de ramasser de petites branches et d’autres débris sur le sol aux sites de camping parce que cela contribue à l’érosion du sol et à exposer les racines des arbres existants.

Vous coupez de vieux arbres sur votre propriété et ne savez pas quoi faire du bois. Pensez à en faire don à l’un des sites de camping très fréquentés du lac. On cherche uniquement du bois d’une taille idéale pour les feux de camp et non des broussailles. Si vous avez du bois à donner, veuillez communiquer avec Todd Norton.

ADHÉSIONS. À l’heure actuelle, l’ALP compte environ 155 membres. Il y a pourtant environ 300 propriétaires au Pemichangan, l’adhésion est plus facile que jamais et les renouvellements sont automatiques. N’attendez plus! Pour plus d’informations, veuillez communiquer avec Wanda Taylor.

Vous avez une question d’ordre général ou voulez donner un coup de main? Veuillez communiquer avec Jeff Stanier au moyen du site Web de l’ALP ou au 613-324-7277. L’ALP veut de vos nouvelles!

Salutations et au plaisir,

Le président de l’ALP,
Jeff Stanier